[rp] quand l'aigle se derouille ou se fait derouillé

la chaos pointait a l'horizon, les heures qui allaient venir ne serait pas de tout repos. habitué au salon d'honneur et au repas frugale du a sa charge, le duc s'egaré dans ses pensées dans son bureau regardant son epée accroché au mur de celui ci. il la decrocha et la pris a pleine main, l'epée hospitaliere semblé bien poussiereuse n'ayant servi que par des temps lointain, lui le cadet d'armes soupira un long moment

tout duc qui se respecte se devait de combattre pour defendre ses terres, le felon etait la narguant le champenois, il etait donc temps d'agir. Decision avait ete prise que rejoindre l'armée du capitaine royale, il fallait donc se degourdir l'epée se rappellant les entrainements lointain chez les hospitaliers. il ferma son bureau laissant note qu'il partait a la caserne. c'est donc en tenue de monte que l'aigle rejoins la caserne discretement laissant de coté le protocole revetant un plastron simple, l'epée au fourreau il entra dans une salle vide sourire en coin degainant l'epée et commencant doucement a effectué les premieres passes contre les mannequins de chiffon devant lui

il regarda la porte un moment et continua plus assidumant lachant doucement

et bien mon duc te voila rouillé..........

un long soupir s'echappa sa main empoignant fermement le pommeau de celle ci

( rp ouvert a tous............. bon amusement^^)

Après s'être bien défoulée sur le mannequin de paille de la salle d'armes, Hersent sortit, fatiguée mais sereine pour se diriger vers les étuves de la caserne. Comme elle passait devant la salle s'entraînement, elle entendit un bruit d'épée et de pas vifs. Mince, qui pouvait faire tout ce boucan à cette heure? Elle respira un grand coup, mit la main sur la poignée, la tourna et ouvrit grand la porte: elle aperçut un homme en train de batailler contre une cible, un homme qui ne lui rappelait aucun de ses soldats et encore moins le CR.
Elle entra d'un pas décidé et interpella l'inconnu: Nom d'un p'tit bonhomme de bois, qui êtes-vous et qu'est-ce que vous fichez là, sans autorisation?

Elle s'approcha encore plus de l'homme et quelle ne fut pas surprise de reconnaîtr le Duc en personne, elle piqua un fard et, après l'avoir saluer respectueusement, s'embrouilla dans des excuses inaudibles:

Votre Grâce, je suis confuse, je ne vous avais pas reconnu...je suis mortifiée de vous avoir ainsi invectivé et dérangé dans votre entraînement.

Limbago quand tu nous tiens. Douleur atroce à force de dormir dans cette satanée chambre bleue où il roupillait sur une paillasse ... grand mot évidement. C'était une vraie chambre mais il préférait largement son lit à elle. Normal, qui préfère dormir tout seul dans un lit froid ? Personne. Il avançait tant bien que mal dans la caserne en se tenant un peu le dos et stoppa devant la salle d'entrainement.

Il lorgnait l‘entrainement d‘une personne sans réellement savoir qui était ce. Un soldat surement. A la vue du maniement de l‘épée, il étai presque assuré que non. Puis Hersent arriva, et Poly sourit quand il reconnu le Duc.

Allons ma GES, vous ne reconnaissez pas votre Duc ?

Il s'avança dans la salle en se redressant légèrement et posa sa main sur son épée en regardant le Duc et en s'approchant légèrement vers lui. Le mannequin en prenait des coups ces jours ci. A la base, Poly était venu pour un entrainement d'archer vu so état, mais à la vu du Duc en arme, il ne pu s'empêcher de le "défier".

Vous voulez peut êtes vous entrainer contre un adversaire qui pourra se défendre au lieu d'un sac de paille ? Je suis votre homme si vous le souhaitez.

Il s'approcha de nouveau pour se poster devant le Duc cette fois ci et dégaina son arme.

Sauf si bien sur, vous préférez un mannequin en paille ?

Il sortait tout juste de le salle d’entrainement pour les archers. Les doigts enroulés dans un petit torchon, il se dirigea vers les cuisines quand il entendit des paroles dans le salle juste à côté. Curieux comme jamais, il entra et resta contre le mur sans rien dire.

Le Duc face au Capitaine. Une beau duel en perspective. Il posa sa main sur son épée également mais se retenu d’aller aider son Capitaine. Il savait très bien se défendre seul même s’il se tenait étrangement ce jour. Il salua de le tête sa GES et alla se mettre à côté d’elle en souriant.

Vous pensez que le Capitaine va bien ? Il semble avoir mal …

Puis, il regarda les deux hommes toujours aussi souriant. Il chercha dans sa poche un écu et pour rire, il jeta l’écu à ses pieds en s’exclamant fièrement :

Une pièce d’or pour la victoire du Capitaine !

Il croisa les bras et attendit que le combat-entrainement commence, toujours prêt à intervenir si cela dérapé. Même si c’était le Duc … c’était son Capitaine et non ne touche pas au Capitaine !

Un bruit insolite se fit entendre derrière elle: elle se retourna et vit le Capitaine, avancer un peu courbé, vers le Duc. Elle sourit, en rougissant un peu, quand il se moqua d'elle, elle qui n'avait pas su reconnaître tout de suite le Duc.

Mes respects mon Capitaine...Disons que le Duc n'était pas vêtu comme au château aussi l'ai-je confondu avec un quidam. Vous allez bien?

Elle observa, inquiète sa drôle de démarche...il devait avoir mal au dos. Elle se promit de lui proposer un massage thérapeutique à l'arnica pour lui détendre les lombaires. Le Vicomte avait bien survécu au massage du poignet...Elle le regarda se postionner pour défier le Duc, elle sourit devant l'irrépressible besoin des mâles à se mesurer.
Elle recula jusqu'au mur, près de la porte, pour assister à cet entraînement peu ordinaire.
A cet instant, un deuxième bruit discret se fit entendre: la porte s'ouvrit lentement pour laisser passer l'incorrigible curieux de la caserne, Arthuro en personne. Elle se retint de rire puis s'empressa de le rassurer quant àl'état de santé du Capitaine:

C'est la vieillerie^^ mais chuuut.

ptifou vit arthuro entrer dans une pièce ou il y avait entendu la voix de la GES et alla voir en entrent "sans tomber c'est tellement rare".il y vit le Duc, le CR, la GES, et arthuro. le Duc et le CR était l'un en face de l'autre pret pour un combat-entrainement bien qu'il trouva la position du CR un peu étrange, il ce diriga vers la GES et arthuro pour regarder et observer.

bonjour
puis-je regarder et prendre des notes pour moi?

il sursauta a la voix ferme de la generale en second qui entra dans la piece, quand il se retourna il esquissa un sourire narquois, il n'etait pas la il est vrai en terrain conquis malgré qu'il soit le chef des armees, le lieu etait bien differant la Commanderie de l'Ordre Royal de l'Hospital de Saint Jean,les hommes etait tout aussi differents un moment nostalgique ileu une pensée pour ses freres d'armes puis d'un voix assuré il s'approcha du ges

encore vous........... second sourire a celle qu'il avait l'habitude de croiser en d'autre lieu ne vous escusez pas il est vrai que ma presence en ce lieu peut surprendre, ma foi je vois que la securité de la caserne est assurée, je m'en rejouis. je manquais un peu d'entrainement vous savez etre dans ses bureaux ne favorise pas la chose

un hochement de la tete que il vit le capitaine, le saluant de la tete, puis resta interrogateur quand au sois disant defie, des mois sans entrainement pour lui le cadet d'armes il avait encore l'humilité de savoir qu'il ne fallait jamais sous estimé l'adversaire meme si il ne s'aggissait d'un entrainement, il posa l'epée pointe sur le sol et repondit souriant de nouveau en rebondissant sur le quidam d'hersent

esperons que ce combat ne sera pas qu'un feu de paille pour le quidam que je suis. Un capitaine royal comme premier combat d'entrainement depuis des mois me voila honoré...........

il sourit de nouveau voyant les loups arrivé il se dit soudainement que les traditions se perdait aucun salut militaire soit

bonjour messieurs............

puis son visage se durci quelques peu essayant de reprendre un concentration optimale, relevant l'epée pour la mettre a hauteur de buste

allons y capitaine..........

Troisième bruit près de la porte: Hersent jette un oeil pour voir débouler, sans vautrage à la clef, Ptifou. Elle lui fit signe d'être plus discret en mettant un doigt sur sa bouche.

Ptifou, soyez un peu plus discret, je vous prie. Bien sûr venez près de nous...je sens que le spectacle vaudra le détour. Surtout ne pas sous estimer la forme de sa Grâce Tristan, notre Duc. Je sens que ça va être un très beau spectacle. Prenez en de la graine, Arthuro et vous^^.

Elle rougit lorsque le Duc lui dit "encore vous...", elle se promit d'aller lui chercher une mirabelle pour se faire pardonner sa méprise. Elle se concentra sur les deux combattants, admirant leur maîtrise de soi et leur regard déterminé.

En peu de temps qu’il en fut, la salle d’entrainement se remplie par plusieurs Loups. Evidement, la commère de la caserne était la, le jeune bridé évidement toujours présent. Puis suivit de très près le soldat Ptifou, un nouveau plus que motivé et la GES appuyée contre le mur. Des spectateurs … c’était le jour tiens. Il avait son arme en main et posa la pointe au sol tout comme le Duc.

L’honneur est pour moi voyons. C’est toujours un plaisir rare de s’entrainer avec un Duc.

Il ne fit plus attention aux gens présents et se concentra sur son entrainement. Il se demanda comment il allait pouvoir faire bonne figure alors qu’il était incapable de mettre ces bottes sans hurler de douleur ! Il souria à cette pensée plus que mal placée en la situation actuelle.

Relevant l'épée pour la mettre a hauteur de buste signifiant qu’il était prêt à en découdre. Quelques secondes écoulées, il pointa son arme vers le torse de son adversaire et fit quelques pas bien en cadence en avant. Arme pointée, il tenta dès le début de le désarmer en tapotant légèrement sur le poignet Grascieux.

Et desuite, fit quelques pas en arrière entamant des pas de côtés pour observer un quelconque point faible dans la tenue de l’arme ou simplement une défaillance physique. En pensant à cela, Poly se dit qu’il serait bon de se redresser un chouilla mais en vain, satanée douleur, il resta cambré un peu en avant.

Nouvelle attaque : il tenta d’enchainer comme une petite danse de coup : portant la jambe droite en avant en laissant le pied gauche en place pour s’en aller ferrailler l’épée adversaire.

ptifou regardait le CR lancé la première attaque sur le duc, le bruit des deux épées qui ce heurtai lui donnait des frissons et prenait des notes pour lui

L'Aigle arriva sur la scène et observa le tout.