[Rp] Quand les nerfs lachent - les autres trépassent.

[Devant la salle]

Il avait regarder le CR depuis la début. En fait, son but premier avait été d’aller à la salle de tir à l’arc pour améliorer cette performance bien maigre. Rien de plus. Il avait entendu de bruit et c’état donc retrouver, comme à l’orphelinat, devant un porte en train de regarder par le trou de le serrure.

Il n’osa rien dire lorsque le CR lui dit de venir se battre. Il avança dans la lumière pour qu’on puisse le distinguer tordant le bouche. Il allait passer une mauvaise quart d’heure. Il baissa les yeux devant l’homme blond et retira son arme lui aussi qu’il déposa au sol.

Tout penaud, il s’approcha du centre de la pièce et ne put s’empêcher de voir l’état des mains de son adversaire. Se battre … il ne l’avait jamais fait. C’était même un honneur de combattre face à lui mais …

Mon CR, je voula pas vous déranger … je peux repartir.

Il ferma ses poings au cas où. Puis, il s’avança vers l’homme et allez savoir pourquoi … son poing se retrouva sur la joue sur CR.

Arthuro, bien évidement, qui d’autre à trainer dans la caserne un samedi ?Un fidèle soldat celui-ci, il irait loin mais bien entendu, le silence était de mise avec lui. Il lui rappelait une personne c’était peu être pour cela qu’il était dur avec le bridé. Le mannequin poussé, ils avaient largement la place pour un petit combat de corps à corps. Il était bien gringalet et les apparences …

Inutile de part ..

Il n’eut même pas le temps de finir sa phrase que sa joue se mit à bruler d’un coup. Son regard revint se poser sur le jeune, surpris d’un geste alors que le combat n’avait pas commencé. Un acte de rébellion ? Pourquoi avait il fait cela si rapidement ? Il porta sa main à sa mâchoire et s’approcha du soldat pour le saisir par la chemise.

Les règles d’un combat sont précises, envoyer un coup en traite signifie que tu désires un combat sans règles ? Soit …

Il se recula à son tour pour balancer un revers vers le visage d’Arthuro ainsi qu’une tentative du gauche dans l’estomac pour rapidement sautiller en arrière tout sourire. Frapper autre chose qu’un mannequin était un vrai plaisir et il en redemandé !

Il encaissa le coup de poing sans broncher à voix haute … mais, la douleur était bien présente. Il pensait même avoir perdu plusieurs dents pour finalement se rendre compte que son nez saignait. Aucun importance, le temps qu’il reprenne conscience et il se retrouva le souffle coupé. Ses genoux vinrent toucher le sol et une main posé sur son ventre douloureuse.

Il passa son autre main sur son nez et leva la main comme pour mettre fin au combat bien inéquitable.

J’arrêtes …

Il reprit son souffle relevant le nez et se remit debout sur ces pieds, un peu penché du côté où il allait tomber. Finalement, il devait se montrer digne des Loups, du CR et de lui-même. Il tenta de lui mettre un coup de pied mais le loupa.

Il reprit la pose du combattant : poings en avant, jambes à demi pliées, il était près à encaisser de nouveau. Il avança son bras lentement puis finalement se jeta dépité sur le CR pour essayer de le faire tomber.

Il venait de voir la GES et c'était pour cela qu'il c'était relevé. En revanche, il aurait bien aimé qu'elle reste avant de finir en bouillie ...

Il regardait Arthuro agenouillé sans rien dire, il aurait même voulu lui taper dessus alors qu’il était au sol. Qui taperait une personne à terre ? Personne et c’est pour cela qu’il recula pour éviter toute tentative de passer ces nerfs sur le jeune. Il haussa les épaules en le regardant : bon dieu, il lui ressemblait tellement que s’en était déroutant à force.

Encore une fois, il n’eut pas le temps de dire mot que le jeune venait de lui rentrer dessus. Il encaissa le soldat en tanguant légèrement vers l’arrière avant de se dégager et de laisser un coup de botte trainer. Il ne désirait pas lui faire mal mais était à bout de nerf depuis quelques temps.

Conduis toi comme un homme au lieu d’attaquer en traitre à chaque fois.

Il tournait autour du Soldat et se dirigea vers la porte de la salle d’entrainement. Il l’ouvrit et se mit à appeler d’autres soldats :

Appel aux Loups !! Entrainement obligatoire dans salle d’entrainement. Magnez vos fesses, vous êtes déjà tous en retard !!

Ohhhh, la douce voix du Capitaine résonnait harmonieusement dans les couloirs de la caserne! Il conviait, avec grâce et civilité, ses soldats à venir s'entraîner...ça tombait bien, Hersent avait besoin de passer ses nerfs sur un mannequin d'entraînement, après la soirée pénible de la veille en taverne.
C'est rouspétant et maugréant qu'elle fit son entrée dans la salle:

Voilà, voilà, mon Capitaine. Où sont les bâtons que j'en prenne un pour me défouler!?

Elle vit Arthuro qui n'en menait pas large. Elle s'avança vers lui, regarda s'il n'avait rien de casser puis lui demanda:

ça te dit de t'entraîner au bâton avec moi? Ou préfères-tu la lutte avec le Capitaine?

[Quelques jours plus tard]

Grrrr...Hersent entra comme une furie dans la salle de combat. Elle était en colère contre lui mais surtout contre elle-même. Elle n'avait pas su se maîtriser jusqu'au bout, lors de cette soirée où il était venu la rejoindre en taverne, tout sourire, comme s'il revenait du...argh...elle n'osait prononcer le nom de cet établissement où officiaient d'accortes dames peu avares de leurs charmes.

Elle avait tenté, bravement, de rester sereine puis, peu à peu, les bondes avaient lâché, elle s'était levée, une fois, deux fois, avait failli lui balancer une chopine à la figure...pour finir, au moment où il s'y attendait le moins, elle lui avait donné une gifle monumentale...elle n'en revenait toujours pas...d'avoir pu le gifler.

Elle ôta son mantel, puis sa petite veste pour être à l'aise et s'empara d'un bâton. Elle se planta devant le mannequin de paille, le défia puis lui assena des coups à l'épaule, dans le ventre, sur les jambes...elle envisagea même de lui mettre un coup là où...mais...finalement pas.

Elle tournoyait devant son adversaire immobile, le feintait, le frappait avant de s'éloigner pour mieux recommencer. Elle expulsait toute la colère qu'elle avait en elle...cette colère ressentie contre elle-même.

Elle s'arrêta, en nage, haletante, fourbue...enfin libre du poids qui lui pesait sur le coeur. Elle s'assit contre les jambes inertes du mannequin, ferma les yeux et rêva d'une bonne tisane.

Après quelques minutes de récupération, l'adrénaline s'évapora, Hersent se releva et s'empara d'une toile en lin pour essuyer la sueur ruisselante...une envie de faire trempette dans un grand baquet d'eau chaude la fit se dépêcher de rejoindre ses quartiers....un bain chaud...une tisane...la journée s'annonçait sous les meilleures auspices.

sesthar entra prit son bâton et frape l’épouvantail

il frappa l’épouvantail et se remit en garde et enchaîna les coup

il le regarda bouche bé

merci mais je doit continu a améliore , enchanté de vous connaitre .

Analyia, entra & prit une épée en bois & son bouclier...


Elle se rappella de ceux que lui avait dit un vieux quand elle s'entrainait quand elle était petite: "des sauts, des courbettes, des sauts périlleux, esquive les meilleurs moyens pour faire un bon combat"


Analyia commença a donné des coups sur l'épouvantail, l'épouvantail lui donna un coup d'épée, elle esquiva à tant, et fit un saut périlleux comme quand elle était sur la poutre en taverne, elle continua à donner des coups, elle fit des courbettes, l'épouvantail donna plusieurs coups et sauta pour esquiver le coup avec son bouclier, elle s'attendait pas à recevoir un autre coup et tomba... Elle se releva.. & dit tout bas


_Hmmmm faut encore que j'y retravaille, dommage que le vieux qui m'entrainait étant petite soit plus la pour l'aider.. J'y retournerais cette aprem


Il avait été tué par des brigands, elle avait décidé de se venger sur tous les brigands mais elle préféra de se venger à la façon légale..